Le gouvernement sénégalais fait l’objet d’une vive controverse à l’approche des élections présidentielles de 2024, suite à la révélation fracassante de l’avocat d’Ousmane Sonko, Juan Branco. Ce dernier affirme que l’État a passé une commande de 7 millions de munitions, jetant ainsi le doute sur les intentions du palais présidentiel.
Juan Branco, dans une démarche inédite, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) contre l’État du Sénégal, l’accusant de crimes contre l’humanité. Cette action vise à répondre à une question fondamentale : pourquoi le gouvernement aurait-il besoin d’une telle quantité de munitions et d’armes à quelques jours seulement de l’élection présidentielle ?
Le document divulgué par l’avocat met en lumière la commande de munitions effectuée par le palais présidentiel. Cette révélation a suscité une vive réaction au sein de la population sénégalaise et a semé le doute quant aux véritables motivations du gouvernement. Face à cette situation délicate, la présidence a nié catégoriquement toute implication dans cette commande, ce qui ajoute une dimension troublante à l’affaire.
Les Sénégalais, en possession de ce document troublant, se demandent légitimement pourquoi une telle annonce a été démentie par les plus hautes autorités du pays. Cette affaire risque de plonger le Sénégal dans une période d’incertitude et de méfiance à l’approche de l’élection présidentielle tant attendue.
Voici donc le document qui soulève tant d’interrogations au sein de la population sénégalaise.