Le Deal de Macky Sall pour repousser les élections présidentielles éclate !

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Palais, Privilèges, Prison : Les enjeux du “mortal kombat”
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Depuis quelques semaines, des rumeurs circulent selon lesquelles le chef de l’État, Macky Sall, envisagerait de prolonger son mandat de deux ans afin d’organiser des élections libres et transparentes par la suite.

Cette idée, déjà rejetée par l’opposition, a suscité une polémique animée, mais semble peu probable au regard de la Constitution.

Le mercredi 31 mai 2023, jour du lancement du dialogue national, un document du parti Mpes/Jef ak Njarin comportant 12 propositions est devenu viral. L’une de ces propositions concerne la « possibilité d’un report de 2 ans » de l’élection présidentielle déjà fixée au 25 février 2024. Ce point soulevé par ce parti proche du pouvoir a ravivé la polémique déjà existante autour de cette question. L’opposition s’est rapidement exprimée pour « alerter » et exprimer son opposition à cette intention prêtée, à tort ou à raison, au leader de l’Alliance pour la République (Apr).

Ainsi, dans une publication sur sa page Facebook, l’ancienne Première ministre Aminata Touré a affirmé que « l’élection présidentielle devra impérativement se tenir à la date prévue en février 2024, avec la participation de TOUS les candidats. Seul le Président Macky Sall n’y participera pas, conformément aux dispositions très claires de la Constitution. Aucun report de l’élection présidentielle ne peut être envisagé ».

Il est important de souligner que ces déclarations d’Aminata Touré reflètent sa position sur la question et mettent en avant le respect des délais constitutionnels pour la tenue de l’élection présidentielle en février 2024. La polémique persiste, alimentant les débats politiques et suscitant des réactions passionnées dans l’opinion publique.

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