Dans une tournure inattendue des événements, le président Macky Sall a officiellement désigné Amadou Bâ comme candidat de la coalition présidentielle en vue des prochaines élections.
Cette annonce a été précédée de la démission du gouvernement du Ministre de l’Agriculture, Aly Ngouille Ndiaye, qui a souhaité expliquer sa décision à travers une lettre ouverte adressée au peuple sénégalais.
Le Départ de M. Ndiaye : Une Nouvelle Voie
Dans sa lettre, M. Aly Ngouille Ndiaye, désormais ex-Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural, et de la Souveraineté Alimentaire, a annoncé sa démission de son poste clé au sein du gouvernement. Il a exprimé son honneur d’avoir servi le Sénégal dans ce rôle stratégique, mais a également affirmé que l’heure était venue pour lui d’explorer de nouvelles opportunités et de relever de nouveaux défis.
Un Hommage Appuyé au Président Macky Sall
Le désormais ex-ministre n’a pas manqué de saluer le président Macky Sall pour lui avoir offert la possibilité de jouer un rôle majeur dans le développement du secteur agricole sénégalais. Sa lettre reflète une reconnaissance profonde envers le leadership du Président Sall et l’opportunité qu’il a eue de contribuer à l’essor de l’agriculture, un domaine essentiel pour le Sénégal.
Un Bilan Positif et des Perspectives Futures
M. Ndiaye a souligné les réalisations significatives accomplies durant son mandat, notamment des améliorations substantielles dans le secteur agricole. Ces avancées ont eu un impact direct sur la sécurité alimentaire et le développement rural du pays.
Il a également exprimé sa gratitude envers ses collaborateurs et collègues au sein du ministère de l’Agriculture, soulignant leur dévouement et leur engagement indéfectible tout au long de son mandat. Il reste profondément attaché à la cause de l’agriculture et s’engage à continuer à la soutenir de toutes les manières possibles, tout en se tournant vers de nouveaux horizons dans sa carrière politique.
La démission d’Aly Ngouille Ndiaye marque un tournant dans la politique sénégalaise et laisse présager des changements significatifs à l’approche des élections présidentielles de 2024.
